Rehausser le niveau général et lutter contre les inégalités sociales : tels étaient les deux objectifs que nous affichions très clairement dès 2017, dans la lignée des engagements pris par le président de la République lors de son élection.
Depuis, tous ces engagements ont été tenus et même dépassés :
- Dédoublement des classes de CP et CE1 en réseau d’éducation prioritaire ;
- Forte revalorisation des primes en REP+ pour renforcer l’attractivité des postes et la stabilité des équipes ;
- Mise en place d’évaluations nationales ;
- Dispositif Devoirs faits au collège; réforme de la voie professionnelle ;
- Réforme du lycée général ;
- Création du Conseil d’évaluation de l’école ;
- Interdiction du téléphone portable au collège ;
- Lutte contre le harcèlement ;
- Création d’un grand service public de l’école inclusive, etc.
Des lois ont donné de la force à ces changements, en premier lieu la loi pour l’École de la confiance, mais aussi la loi Gatel pour mieux régir la situation des écoles hors contrat, la loi Rilhac sur les directeurs d’école ou encore la loi Balanant sur le harcèlement.
Le budget a accompagné les efforts nécessaires. Jamais il n’y avait eu une telle augmentation : +13% en cinq ans pour concrétiser en particulier la priorité absolue donnée à l’école primaire.
Tout ceci a pu se réaliser en dépit d’une crise sanitaire d’une ampleur inédite. Par la politique de l’École ouverte, la France, grâce à ses professeurs, à ses personnels et à tous les partenaires de l’éducation nationale, a été l’un des pays ayant le plus préservé les enfants des conséquences des confinements. Elle sera très probablement l’une des rares nations à voir le niveau progresser malgré cette période difficile.
Enfin, le Grenelle de l’éducation, au travers de douze engagements, a posé les bases d’une amélioration indispensable de la reconnaissance due aux personnels de l’éducation nationale. Et cela a commencé à se concrétiser avec, pour les plus jeunes,
des augmentations de salaire en entrée de carrière de +10 % entre 2020 et 2022. La voie est ainsi tracée pour replacer notre système éducatif parmi les plus performants au monde.
En circonscription :
OUI à l’apprentissage des langues (régionales ou étrangères) en soutenant les classes bilingues et les écoles DIWAN
OUI à l’enseignement agricole avec l’ouverture d’un Bac pro Conduite et gestion des exploitations agricoles au Lycée Rieffel à la suite de mes nombreuses interpellations auprès du ministère de l’Agriculture
OUI à une meilleure définition de la carte scolaire avec un soutien sans faille à l’école Nelson Mandela qui devrait être considérées comme REP+.
NON à la suppression de l’IEF : après avoir échangé avec une 100aine de famille, je me suis opposée au Gouvernement sur cette décision. Faire l’école à la maison ne signifie pas de la radicalisation !
